Depuis des siècles, les chercheurs se sont interrogés sur la manière dont les Égyptiens ont réussi à construire les pyramides de Gizeh. Comment ont-ils pu déplacer quelque 2,3 millions de pierres, pesant chacune 2 500 kilogrammes, jusqu’à leur emplacement actuel ? Une récente étude apporte enfin des réponses à cette question qui a longtemps intrigué le monde entier.
Une découverte majeure dans l’histoire de l’Égypte ancienne
Un groupe d’éminents chercheurs affirme avoir découvert comment les Égyptiens sont parvenus à déplacer les énormes pierres nécessaires à la construction des pyramides. Ce n’est pas une théorie extra-terrestre, mais plutôt le fruit d’une analyse approfondie des vestiges et des textes anciens. Pour arriver à cette conclusion, les scientifiques ont étudié les techniques de construction utilisées, ainsi que les outils et les matériaux employés. Ils ont également examiné les conditions environnementales de l’époque et les compétences des ouvriers qui œuvraient à la réalisation de ces monuments.
La technique du « sledging » pour transporter les pierres
- Utilisation de traîneaux en bois pour déplacer les blocs de pierre
- Création d’un chemin humide devant les traîneaux pour réduire la friction
- Moins de main-d’œuvre nécessaire pour tirer les pierres sur cette surface glissante
Selon les chercheurs, les Égyptiens utilisaient une technique appelée « sledging » pour transporter les pierres. Ils plaçaient les blocs sur des traîneaux en bois et les tiraient sur le sol. Pour faciliter ce mouvement, ils créaient un chemin humide devant les traîneaux, en versant de l’eau sur le sable. Cela permettait de réduire la friction entre le traîneau et le sol, rendant ainsi le déplacement des pierres plus aisé. Moins de main-d’œuvre était alors nécessaire pour tirer les pierres sur cette surface glissante.
Des preuves écrites et archéologiques à l’appui
La découverte de cette méthode repose sur plusieurs éléments, notamment des inscriptions retrouvées sur les murs des tombes et des papyrus datant de l’époque de la construction des pyramides. Ces textes font référence à l’utilisation de traîneaux en bois pour déplacer les pierres et mentionnent également l’importance de l’eau dans ce processus. De plus, des vestiges de traîneaux et de systèmes d’irrigation ont été découverts près des pyramides, renforçant ainsi la crédibilité de cette théorie.
Un savoir-faire ancestral redécouvert
Cette découverte souligne à quel point les Égyptiens de l’époque étaient ingénieux et compétents. Ils avaient développé des techniques efficaces pour déplacer de lourdes charges sur de longues distances, en s’adaptant aux contraintes de leur environnement. Le savoir-faire ancestral mis en lumière par cette étude témoigne du génie de ces bâtisseurs et de l’héritage qu’ils nous ont laissé.
Une avancée majeure pour la compréhension des pyramides
Cette découverte constitue une avancée importante dans la compréhension des méthodes de construction utilisées pour édifier les pyramides. Elle permet de mieux saisir l’ampleur des défis techniques auxquels les Égyptiens étaient confrontés et d’entrevoir la complexité du processus de construction. Par ailleurs, elle met en valeur l’importance du travail interdisciplinaire entre archéologues, historiens, ingénieurs et autres spécialistes pour résoudre les mystères de notre passé commun.
Poursuivre les recherches pour lever d’autres mystères
Bien que cette découverte apporte des réponses à certaines questions, de nombreux mystères entourent encore les pyramides et l’Égypte ancienne. Les chercheurs poursuivent leurs efforts pour percer les secrets de ces monuments emblématiques et enrichir notre connaissance de cette civilisation fascinante. Gageons que de nouvelles découvertes viendront bientôt éclairer d’un jour nouveau l’histoire des pyramides et de leurs bâtisseurs.
Pas crédible, si on raisonne en termes de quantité de travail au sens physique : 2,3 millions de pierres, chacune pesant 2,5 tonnes, ça fait 5 750 000 tonnes à élever à 34,75 mètres de hauteur en moyenne (1/4 de 139 mètres, centre de gravité de la pyramide), soit 1 998 milliards de joules. D’un autre côté, 10000 ouvriers (estimation des historiens) qui fournissent 100 watts (en continu, c’est déjà une belle performance sportive), 10 heures par jour (pas de dimanches ni jours fériés), 3 mois par an et pendant 20 ans (selon les historiens toujours). On arrive à 65 700 milliards de joules, soit un peu plus de 30 fois, équivalent à un rendement de 3%. Dans ce calcul, on suppose que les pierres sont déjà taillées, au pied de la pyramide, qu’il n’y a aucun frottement, on n’a pas pris en compte la construction des rampes, le déplacement à vide des ouvriers, les tire-au-flanc, les ouvriers malades ou plus âgés, les pertes de temps inhérentes à tout projet important, etc…
Pour moi, toutes ces théories font fausse route. On a tout vu, les rampes hélicoïdales, les rampes intérieures, les systèmes de leviers, tout. Physiquement, c’est peut-être envisageable pour quelques pierres particulières, pas pour l’ensemble de la pyramide. Si on raisonne en termes de quantité de travail et qu’on ne croit pas aux extraterrestres, on a forcément raté quelque chose d’important.
Pas crédible du tout il aurait mis quelques mille ans pour construire UNE pyramide, et je parle pas des MAYA ou des AZTÈQUES,…. EXET, EXET, se sont de pur hypothèses, rien est fonder, faite un essai pour voir, moi je crois à ce que je vois 😉😉😊😊😊
Mais c’est pas des explications de la construction, on nous dis juste comment ils ont amenés les pierres… Et encore très peu crédible effectivement. On est très loin de la grande découverte.
Joseph Davidovitz vous expliquera sur son site, ou allez sur Wikipedia. Le beton geopolymere c’est son truc. Je suis allé en Égypte et j’ai vu des pyramides. Les blocs sont énormes, et tous se ressemblent. Je pense qu’il a raison, et que sa théorie est bonne, n’en déplaise aux « Egyptologue d’académie.