En Espagne, une nouvelle interdiction est entrée en vigueur et elle ne passe pas inaperçue. En effet, les amendes pour non-respect de cette décision peuvent atteindre la somme astronomique de 1700 euros. Découvrons ensemble tous les aspects de cette nouvelle mesure, ses objectifs et les comportements à éviter pour ne pas se retrouver avec une telle amende.
Quelle est cette nouvelle interdiction ?
La nouvelle interdiction concerne les fumeurs. Pour frapper fort contre les pollueurs, l'Espagne a mis en place une amende bien salée qui force les personnes fumant sur une des 28 plages interdites aux fumeurs à payer la modique somme de 1700€. Les autorités espagnoles ont décidé de renforcer leur position sur ce sujet en augmentant considérablement les sanctions. Le but de cette mesure est d'assurer la beauté du paysage et empêcher les gens de salir les sols.
Les plages où il est interdit de fumer sont sur des endroits très touristiques tels que :
- Ibiza
- Minorque
- Baléares
Pourquoi une telle augmentation des amendes ?
La hausse des amendes vise à dissuader les fumeurs de jeter leur mégot n'importe où. Face à une amende pouvant atteindre 1700 euros, nul doute que les personnes qui avaient l'habitude de jeter leur cigarette hors de cendrier y réfléchiront à deux fois…
Les autorités espagnoles souhaitent ainsi marquer les esprits et faire prendre conscience de l'importance de respecter cette interdiction pour assurer la beauté du paysage. On imagine que la plupart des gens qui fument sur ces plages ne prendront pas 1700€ d'amende s'ils peuvent jeter la cigarette dans un cendrier proche d'eux.
Les mégots, présents sur les plages, ont un aspect dévalorisant pour l'esthétique du lieu, ce qui peut avoir jouer sur la décision prise par l'Espagne, mais il y a aussi une raison liée à la faune et flore marine qui est souvent la première victime des mégots jetés, même dans le sable. Le vent déplace les cigarettes et les envoie dans l'eau, ce qui fait que les poissons se retrouvent à manger des mégots et toutes sortes de déchets.
